Malika Mogensen

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Partout, tous les jours, la lumière joue. C’est une musique pour les yeux et le cœur. Le verre est un capteur de lumière. Il couvre toute la gamme des couleurs et des luminosités, allant de l’éclat de l’incandescent aux tonalités les plus sombres, sans parler de ce mystère : la transparence.

 

C'est en contemplant les rosaces des églises que j'ai eu cette perception qu'elles sont comme des partitions de musique offertes  aux vibrations de la lumière.

 

Les disques sont pour moi entre la rosace et le capteur de rêve... le tambour aussi : une membrane tendue, offerte aux pulsations de la lumière, à cet indicible mystère de son apparition. Ce sont des appels à la contemplation.

 

A travers mon travail, j’aime explorer la nature du verre, si propice au dialogue entre opacité et transparence.

Jeux de teinte, de profondeur, de superposition, d'ouverture... : la palette des possibles me semble infinie.

 

Je suis également  inspirée par les végétaux, la Nature en général et par les rêveries intimes qui s’y emmêlent.

"J’aime le cercle.

C’est la perception de la fluidité du mouvement, d'une danse et la grâce suprême de la rondeur. "

 

Malika Mogensen